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Conceptualisé(e) depuis 2018, EIVA vise à mettre en lumière les initiatives ayant un impact positif sur la planète.

EIVA, c'est la conviction que notre force réside non pas dans les mots, mais à travers les actions que nous réalisons et les initiatives que nous soutenons.

EIVA, c'est aussi tout une bande de copains Maude, François, Elie et Arthur

- amateurs des plats de leur grand-mère,

- passionnés d’aventures,

- sportifs,

- amoureux de la nature.

 

En 2017, nous nous interrogerons sur notre mode de consommation. Après de nombreuses discussions, de recherches, de rencontres toutes plus enrichissantes les unes que les autres, nous décidons de passer de l'intérêt à l'acte.

La suite, vous la devinez... EIVA est né(e) !

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Arthur

Maude

Frans'

Arthur

Elie

Ensemble, devenons des consomm'acteurs/trices.

Consommons moins, consommons mieux !

Un espace vert urbain

En solo - duo - quatro

Un vêtement éco-responsable

Deux constats

Une crise sociale et environnementale

Une volonté citoyenne

de vivre autrement

Nos missions

Ecologize

Valorise

Innovate

Act.

Une communauté

 

We are EIVA

L'Altera Race

Un espace vert urbain

Une course éco-citoyenne

Bruxelles - Namur - LLN

Le concept de slow-fashion

Extrait de Veillard, P., Slow Fashion. Définition, cartographie des acteurs et actrices en Belgique et positionnement d’Oxfam-Magasins du Monde, 2018, Oxfam – Magasins du monde, pp. 12-13.

(…) à l’image du concept ‘mère’ de slow food, la slow fashion incite à s’opposer à l’accélération du rythme de production et de consommation des produits. Autrement dit, à ralentir la cadence et à réfléchir sur ce qu’est devenu la norme en matière d’habillement et de mode. C’est donc avant tout une invitation à consommer moins et mieux, c’est-à-dire à préférer aux achats impulsifs de vêtements bon marché, aux forts impacts sociaux et environnementaux, l’investissement dans des habits durables et le prolongement de leur utilisation. In fine, le concept intègre de nombreux aspects du développement durable.

 

Mais ce dernier, quand il est appliqué au secteur textile, est généralement cantonné aux étapes de production. La slow fashion prend, elle, sans doute davantage en compte les étapes de conception (avec un focus sur la qualité et l’écoconception) et de consommation (focus sur l’allongement de la durée de vie) (15) des vêtements. Ces caractéristiques de la slow fashion la rendent également très proche du concept d’économie circulaire (16) (voir encadré). La différence réside sans doute dans l’esprit général de chaque approche. L’économie circulaire cherche avant tout à refermer le cycle de vie des produits et à réduire leur impact environnemental.

 

La slow fashion, dans une approche sans doute moins scientifique mais plus philosophique, vise davantage le ralentissement des modes de vie et la lutte contre la surconsommation. A l’image du mouvement slow, elle met l’accent sur des aspects plus socio-culturels tels que l'opposition à la standardisation des produits, la responsabilité et la sensibilisation des consommateurs/ trices, la protection des identités culturelles et des savoir-faire ou encore l’attachement symbolique aux vêtements et à leur histoire.

(15) Des acteurs tels que les associations ARC (Action et Recherche Culturelle) et Micromarché utilisent pour cette approche l’expression d’obsolescence ‘déprogrammée’, notamment dans le cadre du festival DIY Day qu’ils organisent chaque année à Bruxelles (voir également chapitre 8).

 

(16) Pour plus d’infos sur la notion d’économie circulaire, voir l’analyse d’Oxfam-Magasins du monde : Veillard P. Décembre 2017. Quelle place pour l’économie circulaire chez un acteur équitable ? Exemple de la campagne textile « Slow fashion ».

 

(17) Veillard P. Décembre 2017. Ibid.

 

(18) www.ademe.fr/expertises/economie-circulaire. Consulté le 22/11/2018.

 

(19) Jehin A., Mortier, Q. 2016. Quelle intersection entre nouveaux « modèles économiques » et économie sociale ? Analyse Saw-B.

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